Protection de la nature et écologie

Ecologie : 5 attitudes prioritaires

Crises écologiques, danger ou opportunité ?

L’écologie est aujourd’hui omniprésente dans toutes les têtes, dans tous les discours, en particulier marketing et politiques. Mais qu’en est-il de nos attitudes ?

Sommes-nous réellement dans des postures et pratiques de respect de la nature ? Ou dans la caricature d’une imposture qui sert des intérêts commerciaux et fiscaux ?

Souvenez-vous. Il y a quelques semaines, j’ai soulevé des réflexions en comparant les procédés des crises climatique et sanitaire. Exagérer un problème, susciter la peur et culpabiliser pour vendre des solutions qui n’en sont pas ! Mais elles profitent à une minorité.

Et si les dangers n’étaient pas ceux que l’on croit ou que l’on tente de nous faire croire ?

Il est indiscutable que l’activité humaine est très polluante, délétère pour la planète mais avant tout délétère pour l’homme et le vivant en général.

L’attitude écologique doit s’appuyer sur une vision et une compréhension globales des mécanismes du vivant. Cette attitude prend sa source à l’intérieur de tout un chacun. Parce qu’en me respectant en tant qu’humain, je peux respecter l’autre et la nature.

Bien loin des clichés, voici donc 5 attitudes prioritaires à adopter pour être pleinement vivant. Et par conséquent, respectueux de la nature, c’est-à-dire réellement écologique dans ses pratiques.

Sois le changement que tu veux voir dans le Monde.
– Mahatma GANDHI

1. Se reconnecter à soi…

Considéré comme le père de l’approche humaniste, le psychologue américain Abraham Maslow a modélisé les besoins fondamentaux de l’humain[1]. Pour qu’un être soit équilibré et épanoui, ses besoins essentiels doivent être comblés. Ils sont ordonnés selon trois grandes catégories : physiologiquesla base, psychologiques et spirituels.

L’écologie, au sens du respect de la nature, sera plus naturelle pour un être épanoui que pour un être paniqué en quête de satisfaire ses besoins physiologiques prioritaires : respirer, manger, s’abriter.

Dans ces conditions de survie, le respect de l’autre et de la nature lui seront secondaires. Bien qu’un peu caricaturale et pouvant susciter de nombreuses nuances, cette illustration témoigne des mécanismes d’équilibre énergétique entre actions, pensées et émotions. La peur et la colère sont mauvaises conseillères. Elles nous privent d’une certaine conscience. Une conscience indispensable à l’éveil par l’observation, à la connaissance et au recul face à des situations données, en particulier lorsqu’elles sont anxiogènes.

Plus l’être est serein et conscient de son implication au sein d’un Tout très vaste dont il est partie prenante, intégrante et vivante – comme une goutte d’eau dans l’océan, indissociable, similaire et pourtant unique, plus il sera mature et à même de vivre et respecter la nature. Non par contrainte. Mais par respect naturel et harmonie avec lui-même.

L’écologie ne peut s’imposer par des taxes et des lois édictées par un cartel politico-industriel. L’écologie doit se vivre et prend sa source au plus profond de chacun de nous par sa reconnexion au sacré, à la vie via la spiritualité.

Pour ce faire, changer ses « nourritures intellectuelle et spirituelle » est une clé magique. Changer son alimentation est aussi un double accélérateur :

  • Facteur d’une transformation individuelle favorisant l’éveil ;
  • Porteur d’une décroissance majeure face aux principales sources de pollution.

2. Changer son alimentation…

Une alimentation industrielle non naturelle

L’alimentation est une voie royale pour transformer son être et agir en faveur de la planète.

Une juste alimentation est effectivement l’UNE des premières clés pour être en bonne santé globale – vitalité, bonheur, sérénité, clairvoyance, lucidité.

Notre alimentation occidentale « moderne » constitue aussi LA première source de pollution de l’humain et de la planète. Elle est championne toutes catégories des pollutions[2] :

  • Gaz à effet de serre,
  • Déforestation massive,
  • Occupation excessive et désormais critique des terres cultivables
  • Consommation excessive d’eau, de pesticides, d’OGM et de médicaments,
  • Déjections et rejets polluants des élevages qui détruisent jusqu’à la flore marine,
  • Destruction des écosystèmes marins par la pêche industrielle,
  • Recyclage des emballages de la nourriture industrielle. [3]

Devenir progressivement végan et réduire sa consommation de céréales est LA plus efficace des mesures écologiques !

Les tentations eugénistes des grands dirigeants de ce monde sont liées à l’alimentation morte des protéines animales. Au regard de la croissance de la population mondiale, cette alimentation impose en effet une croissance quotidienne et non durable de 14 000 ha de terres agricoles pour le seul bétail !

Une alimentation écologique pour le corps et la planète

Avec une alimentation vivantefruits et légumes, la planète a suffisamment de terres agricoles pour accueillir 50 milliards d’humains.[4]
L’alimentation vivante est la première et la plus efficace des mesures écologiques. Pour sauver prioritairement l’humain puis la planète. Car dans tous les cas,  la planète survivra à cet humain suicidaire et ses pratiques matérialistes et transhumanistes.

L’alimentation vivante oblige à un minimum de préparation. Donc une connexion aux fruits et légumes, à la nature et à soi. Un moment pour se poser et se centrer sur ses aliments, sa nourriture physiologique. Une forme de médiation active.

La permaculture est également un acte d’éveil, d’apprentissage par l’observation, d’humilité. L’acte de permaculture confère une plus grande maturité et harmonie avec le vivant.

Au-delà de manger frais et sain, l’alimentation vivante génère peu ou pas de déchets non recyclables. Les déchets végétaux, via un compost, créent en effet un engrais naturel et contribuent à nouveau à la vie de la terre. Un juste recyclage.

3. Se reconnecter à la nature pour être en bonne santé

La compassion pour le vivant

Se reconnecter à soi et à la nature, par la méditation ou par la préparation de repas végétaux frais est une démarche d’excellence pour se préparer à la compassion et l’harmonie avec tous les vivants.

Le célèbre moine Matthieu Ricard rappelle la chronologie de la démarche bouddhiste :

  • Comprendre pourquoi la compassion pour tout le vivant ;
  • Cultiver cette compassion par la méditation ;
  • La mettre en action.

D’abord être dans la compassion avec soi-même, c’est-à-dire respecter la nature de son corps et les cycles fondamentaux de la vie : oxygénation, alimentation, régénération et élimination.

Ecologique la vie moderne ?

La vie moderne occidentale a mis à mal l’ensemble de ce cycle. Pour des raisons de business et de confort, la technologie et la chimie ont voulu palier à ces phases de vie. La conséquence est désormais connue : les maladies des pays riches sont liées à la malbouffe, au stress d’une vie trépidante et aux soins médicaux[5].
L’extrême puissance de l’industrie pharmaceutique doit nous conduire à nous interroger sur la légitimité des dogmes de la médecine ? Sur la validité et la pertinence de la soi-disant science qui sert à imposer la chimie au détriment de la nature ?

Est-il cohérent de vociférer contre les voitures thermiques[6] alors que par ailleurs on plébiscite une démarche vaccinale avec l’injection de centaines de produits chimiques hautement toxiques ? En particulier l’aluminium qui est bio-persistant et nuisible pour la santé ?[7]

Respecter son corps par des procédés naturels préventifs et même curatifs est donc une démarche écologique prioritaire. Réduire sa consommation de médicaments par une meilleure hygiène de vie est un gage de respect de la nature, un engagement responsable. Cette attitude préventive de santé réduit l’impact négatif de l’industrie pharmaceutique sur l’environnement mais aussi sur la santé des populations.

4. Se détacher du virtuel au profit du réel

Le développement de l’électronique et des divertissements virtuels face à des écrans font la part belle au circuit de la dopamine et de la récompense[8]. L’univers du mental prend le pas sur le ressenti et la conscience du vivant.

Cette déconnexion du ressenti corporel au profit du seul mental confine à l’addiction, à la perte de sens par l’isolement de la personne. Je me coupe du réel et m’enferme dans mon monde virtuel. Ma communication devient plus irréelle, factice, destructrice. Dès lors, je deviens progressivement asocial.

La pollution électronique qui découle de cette addiction aux écrans et aux technologies sans fil – 2G/5G, wifi, bleutooth, etc. – provoque des perturbations d’autant plus sévères qu’elle se cumule avec d’autres pollutions. Ainsi pour le vivant comme pour la planète, les ondes électromagnétiques pulsées, non naturelles, induisent des champs de torsion et des perturbations de phases et d’amplification contraires au fonctionnement naturel de toute matière organique.
Ces mécanismes du vivant sont ignorées de la plupart des pseudoscientifiques. Un siècle après l’avènement de la physique quantique, comment peut-on justifier cette ignorance ? Pourtant la science est formelle : le monde invisible préside au monde visible.
Comme le soulignait Albert Einstein[9], il ne peut exister aucune matière, donc aucune chimie, sans rayonnement électromagnétique.

Les effets délétères sur la santé sont prouvés. Néanmoins, pour protéger entre autres un business rentable, des pseudoscientifiques ignorants et/ou corrompus, sèment le doute par une controverse avec des techniques de désinformation, fabrique du mensonge et fabrique de l’ignorance.

Actuellement, bloquer son téléphone en mode 3G est un moyen limité de se protéger contre la nocivité des ondes et de manifester son opposition à la nouvelle technologie 5G, en rupture technique avec les précédentes technologies 2G/4G[10].

Tout le monde veut que ça change, mais personne ne veut changer.
– Albert Einstein

5. Se désolidariser des narrations officielles

Cautionnement et consentement des solutions anti-écologiques

Créer de faux problèmes pour apporter de fausses solutions est désormais la technique la plus utilisée pour apeurer et soumettre les populations. La crise climatique et la crise sanitaire relèvent de ce type de supercherie.

Les multiples pollutions issues des activités humaines sont avérées et indiscutables. Elles ne sont bien évidemment pas souhaitables d’autant qu’elles sont évitables !

Dans leur domaine, l’élevage et l’agriculture industriels sont sans conteste les premières sources de pollution. Ni l’un ni l’autre ne sont indispensables.

Les pollutions électromagnétiques du « sans-fil » tout comme celles liées aux énergies non renouvelables peuvent être évitées. Des solutions alternatives existent.

La troisième grande cause d’anti-écologisme primaire est la géo-ingénierie.

Des solutions comme causes du problème ?

Le CO2 est l’aliment naturel des plantes et n’est pas toxique pour l’humain. Son accusation comme cause majeure du réchauffement climatique d’origine humaine tient de la fraude scientifique. Seule une corrélation permet de justifier cette thèse qui occulte la plupart des paramètres d’une équation aux multiples inconnues. La climatologie n’est pas une science exacte et encore moins fondamentale. Les projections mathématiques catastrophiques se sont révélées totalement fausses, tout comme pour la crise sanitaire.

Par ailleurs, les épandages de nanoparticules et de métaux lourds mélangés aux carburants des avions, les fameux chemtrails[11], n’ont pas été pris en compte dans l’équation. Ces épandages serviraient notamment à créer une calotte de réflexion des ondes émises par les stations de type HAARP, favorisant ainsi un meilleur réchauffement de l’atmosphère...

Des relevés au sol ont mesuré jusqu’à 14 métaux lourds. Dans ces conditions, n’est-il pas hystérique de s’alarmer des émissions des véhicules thermiques tout en niant une pollution nettement plus dramatique ?

Des solutions naturelles pour respecter la nature

Est-il concevable que, dans ces « narrations fictions apocalyptiques », les seules propositions politiques pour soi-disant sauver l’humanité soient de nature technologique, transhumaniste et fiscale ?

Les injections chimiques, les modifications génétiques, les OGM humains, animaux ou végétaux[12], le puçage, les satellites 5G, les pesticides, les voitures électriques, les chemtrails, la géo-ingénierie, les taxes et impôts sont-elles réellement des solutions respectueuses de la nature ? Ou sont-elles juste des doux leurres particulièrement lucratifs pour leurs promoteurs avides de pouvoir, voire d’eugénisme ?

Les thérapies géniques pour exterminer une espèce

Une expérimentation en Nouvelle-Zélande pour exterminer une espèce pose des questions éthiques et philosophiques. L’homme peut-il s’arroger le droit de soumettre la nature et le vivant ?

L’anti-écologisme politico-industriel

Les citoyens sont-ils responsables de ces actions antiécologiques orchestrées par les gouvernements, eux-mêmes asservis par une autorité financière élitiste ?

Dès lors, peut-on cautionner ce discours politico-industriel qui vante la culpabilité du citoyen et les mérites de son asservissement par un transhumanisme anti-nature ? Un transhumanisme piloté par une élite mondiale censée protéger des moutons égarés dans une société qui deviendrait trop complexe du fait de l’évolution technologique ?

Ce charlatanisme écologique et eugéniste trouvera-t-il une issue dans le retour au sacré ? Par une spiritualité qui va façonner une nouvelle réalité ? Celle d’une sobriété heureuse qui respecte la nature et les besoins d’un humain compatissant envers lui-même, son prochain et le vivant ? D’autant que les solutions naturelles –  alimentation vivante, énergie libre, médicaments efficients non nocifs – existent même si elles sont financièrement peu rentables.

A tout un chacun d’initier le mouvement pour en faire la lame de fond d’une écologie mature et nature.

Les chemins du sacré

Dans des lieux emblématiques aux quatre coins du monde, Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue et écrivain passionné de spiritualité, part à la rencontre de ceux qui font l’expérience d’une quête spirituelle, respectueuse de la nature.

Ressources & Références

[1] Cf la pyramide de Maslow https://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_des_besoins

[2] Cf le documentaire Cowspiracy https://etre-vivant.fr/crises-climatique-et-sanitaire-politiques-et-desastres-similaires/#_ednref3

[3] Au large de l’Asie, les montagnes de déchets plastiques constituent même un continent avec une superficie de 3.4 millions de km2 !
J’ai souvenir d’avoir vu à Bali après une cérémonie religieuse, une population très jeune, endimanchée, mangeant à même les scooters le long de la route. A notre retour, le sol était jonché de barquettes plastiques. Interrogé, le guide nous répondit que c’était les habitudes des anciens qui s’étaient transmises… Mais les anciens utilisaient des matériaux de bambous biodégradables en lieu et place du plastique. Le culte des offrandes aux esprits ne posait alors pas de souci…
Le continent plastique https://youtu.be/rIhg5-OBtAw

[4] Les calculs consistent à comptabiliser les terres actuellement prises pour l’élevage et les céréales et les terres non cultivées mais pouvant abritées des fruits et légumes. La permaculture est également 10 fois plus productive que l’agriculture industrielle. Ainsi sur une superficie identique, la permaculture apporte une diversité de fruits et légumes en lieu et place d’une seule culture céréalière.

[5] Cf l’enquête Campbell https://etre-vivant.fr/ecologie-nature-sante-erreurs/#_ednref10

[6] Cf le business des énergies vertes https://etre-vivant.fr/crises-climatique-et-sanitaire-politiques-et-desastres-similaires/#_ednref8

Cf Planet of the Human, quand la déforestation pour l’énergie biomasse est présentée comme une solution écologique https://reporterre.net/Planet-of-the-Humans-la-diatribe-de-Michael-Moore-contre-les-energies-vertes

[7] Aluminium dans le corps

[8] Le circuit de la récompense, dopamine, des reportages ARTE :

[9] Le lecteur voudra bien me pardonner de citer Albert Einstein en référence scientifique, en lieu et place des journalistes et politiques, désormais détenteurs de la vérité de propagande… 😉

[10] Voir le site de l’expert David Bruno https://www.ondes-expertise.com/
Comment mesurer son exposition aux ondes des antennes relais https://youtu.be/5-xZqRFMDAc

Les prétendues solutions seraient-elles en réalité les réelles causes ?

[11] Depuis depuis 70 ans, les militaires ont tenté et contrôlé localement le climat. Les expériences menées à l’insu des populations ont accouché de techniques de géo-ingénierie. Son objectif noble et désormais avoué, en regard de la propagande climatique, est le contrôle du climat. Les techniques vont de l’épandage de substances chimiques en passant par les rayonnements électromagnétiques de stations ionisant l’atmosphère avec différentes types de fréquences.

Les chemtrails sont des nuages de condensation issus des épandages de métaux lourds et de nanoparticules. Ils sont niées officiellement et pourtant présentés comme une solution de géo-ingénierie pour le réchauffement climatique dans le rapport du GIEC :

[12] Introduire une modification génétique pour exterminer une espèce https://youtu.be/7kaIwNJjvfo

Crédit photo :  ejaugsburg de Pixabay