Ecologie nature santé , prendre le bon élévateur

Écologie, entre nature et santé : erreurs d’élévateurs ?

Solutions écologiques ou nouvelles pollutions ?

Pour avoir une démarche globale et pédagogique, ne faudrait-il pas rappeler ce qu’est réellement l’écologie ? Car ce terme écologie semble aujourd’hui quelque peu dévoyé, passe partout et avant tout alibi et prétexte à justifier des actes politiques liberticides et anti-natures.

Dans wikipedia, l’écologie scientifique est distinguée de l’écologie politique. Elle est définie comme une science qui étudie les êtres vivants dans leur milieu en tenant compte de leurs interactions. En somme, la science des conditions d’existence…

Dans ces définitions, l’écologie n’est donc nullement liée au respect de la nature.

Une écologie focalisée ?

De nombreux films et documentaires[1] ont depuis plusieurs années remis en cause notre mode de vie extrêmement délétère, pour la planète en premier lieu et seulement pour l’humain en second lieu.

La crise climatique s’est en effet imposée comme l’incontournable et principal sujet écologique[2] de tous les bien-pensants et autres anonymes plus circonspects, mais pourtant convaincus que la pollution – par le CO2 d’origine humaine – est au cœur des dérèglements climatiques.

Comme dans toute crise, les politiques ont décidé d’agir avec leurs armes préférées : contraintes, interdictions et taxations.

Le CO2 a été déclaré ennemi public n°1 et a ainsi pu justifier de monstrueuses taxes sur l’automobile, pourtant minoritaire dans cette contribution CO2.

L’hystérie est devenue virale grâce à une propagande basée sur des fraudes scientifiques[3] et sur des modèles mathématiques virtuels[4] qui font la part belle à un scénario catastrophe.

L’objectif de prévoir le pire du pire est double :

  • Provoquer un choc par la peur ;
  • A l’issue de la crise, valoriser les mesures prises comme étant les bonnes puisque la catastrophe – improbable – aura été évitée du seul fait de ces mesures.

La peur comme vecteur de management ?

Les neurosciences confirment que lorsqu’un phénomène de sidération par la peur est suffisamment présent chez l’individu, ce dernier est tellement focalisé que ses capacités mentales de réflexion sont minimisées. En d’autres termes, impossible de faire du calcul mental pendant que l’on tente d’échapper à un prédateur. L’énergie est accaparée par le corps pour une mise en mouvement et le canal conscience/pensée – qui fonctionne de l’ordre de 16 bits/s – n’est plus capable de traiter autre chose que la fuite, avec un corps qui fonctionne autour de 16 Mbits/s pendant que le cerveau angoisse à 16 Gbtis/s.

Début mars, les premiers scénarios catastrophes pour la pandémie Covid-19 en France, ont été maximisés à une fourchette de 300 000 à 500 000 morts, si aucune mesure draconienne n’était prise.[5]

Pourquoi de telles précautions sur une fourchette aussi large ?

Comme pour la crise climatique, l’objectif est de sidérer le citoyen. C’est une proie facile au prêt-à-penser et au politiquement correct assénés en boucle par des mass-médias financés… par les industriels qui imposent leurs produits comme solutions à la crise, qu’ils ont artificiellement créée.

Pourquoi également occulter que seules les personnes en mauvaise santé risquent des troubles majeurs ? Pourquoi, si ce n’est pour augmenter la peur, les discours officiels taisent ces conclusions évidentes[6] ?

Plus la crise est jugée grave, plus la population sera amenée à accepter des mesures liberticides et anti-naturelles de :

  • Contrôle des populations ;
  • Nouvelles taxes et impôts ;
  • Solutions chimiques et technologiques – sources massives de profit par l’imposition forcée faite aux populations grâce la corruption politique[7].

Cette pandémie, ou plutôt les politiques de confinement mises en œuvre en Occident pour y « répondre » – à quelques exceptions près – précèdent surtout une spoliation massive des peuples qui aura pour conséquence leur réduction en esclavage s’il n’y a aucun sursaut de leur part.
– Youssef Indi, historien des religions et géopolitologue[8]

Une remise en cause nécessaire. Voire salutaire ?

La pandémie orchestrée du Covid-19 nous rappelle que le danger prioritaire ne peut être le CO2, gaz inoffensif pour l’homme et aliment naturel pour les végétaux.

Depuis plusieurs mois, je remets en cause cette hystérie climatique qui m’apparaît totalement déplacée en regard de la cause écologique, au sens respect de la nature.

Comment peut-on s’inquiéter du climat, sur la base d’une pseudo science entachée d’approximations et fraudes scientifiques[9], alors que le manque d’écologie partage le monde en deux et ravage l’humain dans des conditions diamétralement opposées :

  • Dans les pays dévastés et pauvres, les conditions de vie insalubres, la pollution de l’environnement et la malnutrition qui en découlent tuent des millions d’individus ;
  • Dans les pays de la prospérité, la pollution de l’environnement, les conditions de vieindolence physique, stress – et l’alimentation industrielle tuent par les maladies cardio-vasculaire, cancers, soins médicaux[10], diabètes et fabriquent des millions d’infirmes et handicapés[11].

Dans le détroit du Niger l’exploitation du pétrole dans des conditions qui ne respectent pas l’environnement a pollué le fleuve, source d’eau et de ressources alimentaires pour les populations. Ce sont ces conditions de mauvaise hygiène alimentaire qui rendent les gens malades. Pas l’absence de médicaments. La nature est particulièrement bien faite. N’en déplaise aux industriels. L’homme n’a pas besoin de médicaments lorsqu’il respecte son corps-esprit par des nourritures et alimentations naturelles.

L’histoire nous a montré que la santé publique s’était améliorée avant tout grâce au progrès social, au renforcement de la démocratie et à l’équité économique.
– Dr David Mc Coy[12]

La redistribution des richesses est la meilleure solution pour la santé. Cette évidence ne doit pourtant pas masquer qu’une certaine abondance peut également nuire…

Dans les pays développés, la pollution s’orchestre dans un cocktail explosif et délétère autour :

  • D’une alimentation chimique dénaturéepesticides, additifs alimentaires[13], pauvreté en micronutriments – qui prive l’humain d’un carburant sain essentiel ;
  • D’ondes électromagnétiques omniprésentes qui interfèrent directement avec l’ensemble du métabolisme humain, lui-même électromagnétique par essence ;
  • D’une pharmaceutique non naturelle, source d’innombrables poisons toxiques bio-persistants dans le corps selon une médecine symptomatique qui ne cible pas les causes mais les conséquences ;
  • D’un manque d’oxygénation et de reposméditation, sommeil, détente, joie –, sources essentielles de régénération.
  • De perturbateurs endocriniens, nanoparticules dans nos objets du quotidien – cosmétiques, matériaux en bouche[14], matériaux dans les maisons, chemtrails[15]

A propos du mercure, dont l’utilisation pour le traitement de la syphilis ne s’est vraiment arrêté que durant la seconde guerre mondiale, le Dr Gérard Dieuzaide souligne que les vérités d’hier sont les erreurs d’aujourd’hui.

Et certaines pratiques industrielles, pollutions avérées dangereuses – aluminium dans les vaccins[16], amiante, DDT, fluor, glyphosate, plomb, tabac – résistent pendant des décennies voire des siècles grâce à la fraude scientifique et la corruption politique.

Le glyphosate, herbicide jugé non dangereux par l’OMS dans les années 1980, s’est vu ensuite mis à l’index par cette même organisation en 2015 comme cancérigène possible, avant une nouvelle rétractation en 2020[17]. L’OMS jugeant finalement sans danger cet herbicide que l’on retrouve dans l’urine de certains à des doses qui dépassent de 25 à 35% le seuil légal pour l’eau potable…
L’OMS serait-elle sous l’influence des lobbies qui la financent[18] ?

Les vaccins sont à la santé, ce que les pesticides sont à l’agriculture et les additifs chimiques à l’alimentation : des accessoires inutiles, dangereux, mais prétexte à enrichir leurs producteurs et promoteurs dans un contexte de marketing de la peur.

Les enjeux pervers de la crise climatique

Il est évident que l’activité humaine est délétère pour l’humain, le vivant, le végétal et donc, par conséquence, pour la planète. D’ailleurs, la pause pollution industrielle imposée par le confinement a permis à la nature de retrouver des couleurs : les abeilles ont été plus productives que jamais[19] !

Il est également évident que nous sommes tous co-responsables, en particulier en tant que « consommacteur ».

Pollution alimentaire par les additifs chimiques

Christophe Busset, ingénieur agro-alimentaire, Vous êtes fous de manger ça !

Mais il ne faudrait pas tomber dans le piège politique en ne pointant du doigt que nos activités de consommateur avide de bien-être et de confort.

Dans cet irrespect de la nature, notre responsabilité à partager la peur, l’ignorance, les fausses croyances et les manigances de profiteurs industriels et politiques est bien plus coupable que celle de vouloir jouir de la vie.
L’exemple de la peur d’un virus ou de la croyance dans un vaccin comme seule remède illustre le profond attachement au mythe Pasteur. Pourtant, il est scientifiquement avéré faux et ne repose que sur des affirmations que Pasteur n’a jamais démontrées. Toutes les preuves et évidences de la supercherie sont néanmoins ouvertement et grossièrement niées par des industriels et politiques qui « jouent à domicile » devant un parterre de « moutons » parfaitement terrorisés et endoctrinés.

Aussi, il y a de quoi s’interroger lorsque ces gens s’offusquent du climat lié au CO2 humain sous couvert d’écologie mais, dans le même temps, se révèlent favorables à prendre le risque d’un enfant autiste pour le prémunir d’une rougeole [20]!
Le vaccin reste le produit commercial le plus rentable au monde, l’un des plus inutiles et des plus anti-naturels également. L’hexavalent comporte 235 composés chimiques toxiques[21].

L’ignorance et la peur sont des moyens de manipulation.

Mais qui orchestre cette peur par des statistiques et des scénarios catastrophes spéculatifs jamais avérés[22] ?

Qui propose des solutions totalement anti-naturelles comme les compteurs communicants, la 3G-5G[23], le confinement[24] ou les vaccins[25] ? Des solutions qui seraient incontournables à la survie de l’espèce ?

De l’écologie au transhumanisme

Comment au 21ème siècle, peut-on encore croire que l’irrespect de la nature – promue par des autorités dont on ne peut plus douter de la corruption et de l’incompétence – soit la seule voie à la survie sur cette planète ?

La dégradation des conditions de vie du nord au sud et d’est en ouest peut-elle nous laisser augurer que les technologies d’assistance et de surveillance de masse des populations sont la seule solution ?

L’ambition de quelques milliardaires enivrés par leur réussite dans le domaine des technologies, alliés à quelques rares psychopathes financiers et politiques, doit-elle nous conduire vers un transhumanisme[26] qui prône l’immortalité artificielle ?

Marc Dugain nous le rappelle. Doit-on s’écarter de la nature au profit de moyens technologiques pour :

  • Faire durer le corps tel qu’il est – un exosquelette permettrait de mieux vieillir ;
  • Recréer un homme parfait ;
  • Abandonner nos fonctions naturelles –manger, boire, dormir, se reproduire
  • Et les transplanter dans une enveloppe artificielle ?

Cette fuite en avant-technologique comme réponse à une crise humanitaire est une réponse de l’ego.
Elle nie la suprématie de la nature sur le cerveau humain et ce manque d’humilité est caractéristique de gens psychologiquement et spirituellement fragiles et défaillants.

N’est-il pas ridicule et imbécile de s’offusquer du CO2, inoffensif pour l’homme et aliment des végétaux, alors même qu’industriels et politiques nous imposent quotidiennement des centaines d’empoisonnements chimiques et électromagnétiques ?
Existe-t-il une logique écologique qui privilégie la nature et non les bénéfices industriels ?

En se trompant de cible, la planète et le réchauffement climatique lié au CO2, l’attention est criminellement détournée du seul vrai sujet : le respect de la nature et surtout le respect de l’humain, du vivant.

Les climatologues, les biologistes, la plupart des scientifiques, les médecins, les pharmaciens, les financiers, les politiques, les militaires commettent la même erreur que l’imposteur Louis Pasteur[26a] : le vivant, l’homme ne sont pas que de simples machines que l’on peut contrôler avec des molécules chimiques fabriquées en laboratoire.

L’humain est un univers corps-esprit, interagissant avec l’ensemble de son environnement. Il peut être totalement autonome. Il est doué d’une logique d’équilibre automatique, systématique. Cette fonction d’équilibre du vivant s’appelle l’homéostasie pour le sang mais elle est à l’œuvre de manière inconsciente et invisible dans tous les domaines de tous les êtres vivants.

Aucun cerveau ne peut suppléer la complexité de cette merveilleuse harmonie du vivant. Vouloir soumettre la vie par la technologie relève d’esprit ignorant, immature, égocentrique et pathologique. S’en remettre à la vie, à l’énergie, c’est entrer dans la spiritualité, celle qui confère le bonheur, la sérénité, la béatitude de vivre l’instant présent avec la nature, telle qu’elle nous est partagée.

Si l’écologie reste une histoire politique pour asservir les populations et favoriser un arsenal industriel de contraintes technologiques polluantes, alors le mot et la pratique doivent être remplacés, de toute urgence, par la spiritualité.

La spiritualité est l’art d’être en harmonie avec les 6 dimensions[27] aujourd’hui connues de l’univers, de la nature.

Ne nous trompons pas de voyage, prenons les bonnes directions, choisissons les bons élévateurs. Adoptons les 5 attitudes prioritaires pour être un acteur du vivant, capable plus que coupable, intelligent plus qu’ignorant, créateur plus que destructeur.

La santé au main des industriels ?

Enquête sur le financement et illustration avec le glyphosate et l’Agence Internationale de l’Energie Atomique.

Pesticides : une action en justice inédite

En octobre 2020, une étude de Gilles-Eric Séralini et Gérald Jungers, révèle que 14 herbicides contiennent de l’Arsenic, des métaux lourds et d’autres substances toxiques cancérogènes non déclarés sur les étiquettes. Quid des méthodes d’évaluation des pesticides où seul le « principe actif déclaré » donne lieu à une évaluation sur sa toxicité à long terme ? Les autres substances, utilisées dans la formule complète par les agriculteurs et nos voisins, seraient donc considérées comme forcément inoffensives ? L’étude prouve le contraire !

Pour soutenir l’action en justice : https://www.secretstoxiques.fr/

[1] Voir les documentaires :

[2] Des députés du groupe En Marche créeraient un nouveau groupe parlementaire « Écologie, démocratie, solidarité ». https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/exclusif-le-groupe-en-marche-en-passe-de-se-fracturer-a-lassemblee-1201507

[3] Notamment : une corrélation n’est pas une causalité, des données d’études ont été perdues, des données de mesures non homogènes, des pollutions électromagnétique et chemtrails non prises en compte, etc.
Parmi ces fraudes, l’automobile accusée de tous les maux, pourtant les approximations sont nombreuses :

[4] Il s’agit de prospective statistique basée sur un nombre extrêmement limité de paramètres. La climatologie n’est qu’une pseudo-science et ne peut garantir une reproductibilité avec un toute chose égale par ailleurs. La science implique une notion de savoir. S’appuyer sur de la statistique pour tirer des conclusions révèle que l’on ignore avec certitude les mécanismes. Ce qui est parfaitement logique lorsque l’on parle d’un astre dans une galaxie dont d’autres astres subissent également une élévation de température.

Didier Raoult, « Arrêtons d’avoir peur », Editions Michel Lafon

Sur le climat, on parle désormais de changement climatique et non de réchauffement climatique : les glaces dans l’antarctique progressent alors qu’elles diminuent dans l’arctique. https://www.youtube.com/watch?v=TZQcoj4xaWM

[5] https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/03/15/coronavirus-les-simulations-alarmantes-des-epidemiologistes-pour-la-france_6033149_3244.html

[6] Statistiques sur la bonne santé :

Étude australienne qui montre qu’avec un système immunitaire fort, le Covid-19 n’a pas d’impact grave  : https://www.nature.com/articles/s41591-020-0819-2

[7] L’influence des lobbies sur les gouvernements : https://lecourrier-du-soir.com/corruption-au-sommet-de-letat-le-conseil-de-leurope-denonce-linfluence-des-lobbys-sur-macron/

Les conseillers des politiques reçoivent des rémunérations et avantages de la part des industriels de la pharmacie : https://www.medias-presse.info/coronavirus-neuf-experts-de-macron-sont-lies-financierement-a-lindustrie-pharmaceutique-qui-veut-nous-vendre-un-vaccin-obligatoire/

Faut-il s’inquiéter des liens entre labos et conseils scientifiques ? https://www.marianne.net/societe/118000-euros-de-msd-116000-euros-de-roche-faut-il-s-inquieter-des-liens-entre-labos-et

Rapport officiel du 17 mars sur la mortalité en Italie : https://www.epicentro.iss.it/coronavirus/bollettino/Report-COVID-2019_17_marzo-v2.pdf

[8] https://strategika.fr/2020/04/18/coronavirus-accelerateur-historique-entretien-avec-youssef-hindi/

[9] Le climat

[10] Les soins médicaux 3ème cause de mortalité aux USA, In L’enquête Campbell, aux éditions Les arènes :

  • page 41, Anderson RN. « Death ; leading causes for 2000. » National Vital Statistics Reports 50(16) 2002
  • page 42, Lazarou J, Pomerane B and Corey PN. « Incidence of adverse drug reactions in hospitalized patients. » JAMA 279 (1998) : 1200-1205 : Dans la majorité des décès liés aux soins médicaux, en première position on retrouve les effets secondaires des médicaments
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9555760
Nombre annuel Américains décédés :
D’erreurs médicales7 400
D’interventions chirurgicales inutiles12 000
D’autres erreurs évitables dans les hôpitaux20 000
D’infections en milieu hospitalier80 000
D’effets secondaires dus aux médicaments106 000

 

Difficultés d’obtenir des chiffres : https://www.lepoint.fr/sante/mortalite-chirurgicale-des-ecarts-de-1-a-10–01-06-2006-11356_40.php#

[11] Pr Colin Campbell, In L’enquête Campbell, Editions les Arènes. Le Pr Campbell a réalisé l’équivalent de 74 années d’études et recherche sur le lien entre alimentation et santé. Ses conclusions sont :

  • Les maladies des pays pauvres sont différentes de celles des pays riches ;
  • L’alimentation est en lien direct avec toutes les maladies, notamment cardio-vasculaires, cancers, diabète ou neuro-dégénératives ;
  • Les programmes officiels de santé sont conçus par les lobbies industriels ;
  • Les maladies peuvent se guérir sans médicamentation chronique et à l’aide d’un retour aux pratiques d’hygiène naturelle, tant par l’exercice physique que par une alimentation de qualité, plutôt végétale, sans viande et sans céréales.

[12] Dans le reportage Arte sur l’OMS, « L’OMS dans les griffes des lobbies » : https://youtu.be/N-mL9gX9gws

[13] Christophe Busset, ingénieur agro-alimentaire, « Vous êtes fous d’avaler ça ! », Editions Flammarion
https://youtu.be/lXXp-PVQ0HQ

[14] Dr Gérard Dieuzaide, in « Et si ça venait des dents », Editions Dangles
Lites des matériaux que l’on peut trouver dans la plupart des bouches : mercure, palladium, gallium, chrome, cobalt, nickel, molybdène, or, platine, titane, aluminium, manganèse, yttrium, hafnium, oxyde de silicium (SiO2), oxyde d’aluminium, zircone (ou oxyde de zirconium), différents oxydes métalliques comme ceux de cobalt, de fer ou de terres rares, zirconium Livre

[15] Chemtrails ou épandage de produits chimiques par les avions de ligne. Ces épandages chimiques qui sont à l’origine une arme militaire, trouvent aujourd’hui leur justification dans le soi-disant réchauffement climatique d’origine humaine :

[16] L’aluminium dans les vaccins

[17] Le glyphosate est-il naturel et écologique ?

  • Glyphosate autorisé par l’OMS – https://www.emploi-vert.fr/content/retractation-de-loms-le-glyphosate-ne-serait-probablement-pas-cancerogene
  • L’OMS a relevé par 200 la teneur maximale en résidus dans le soja. Les méthodes industrielles de traitement chimique ont donc pu évoluer pour plus de productivité et rentabilité, https://youtu.be/N-mL9gX9gws

[18] L’OMS est aujourd’hui financée à 80% par des intérêts privés et à 20% par les Etats membres.
https://youtu.be/N-mL9gX9gws

[19] Des abeilles très productives pendant le confinement : https://positivr.fr/confinement-record-de-production-de-miel-par-les-abeilles-vosges-temoignage/

[20] En 2014 aux USA, 644 cas de rougeole vs 1 089 079 cas de TSA. https://vaxxedthemovie.com/fr/
Si le discours officiel des industriels et politiques nie catégoriquement la relation entre autisme/TSA et vaccination, aucune preuve n’est apportée en ce sens. Les preuves scientifiques que les vaccins sont fiables, efficaces et sans effets secondaires n’ont jamais été apportées par les industriels qui bénéficient d’une dérogation sur las vaccins en termes d’autorisation de mise sur le marché : aucun test en double aveugle n’est exigé.

[21] La vaccination, le business rentable d’une industrie qui n’a plus que le vaccin comme nouvelle opportunité et innovation

[22] La grippe H1N1, le sida devaient faire des millions de morts, de même pour le Covid…

[23] Voir les articles sur la pollution électromagnétique :

[24] Les pays qui ont confiné n’ont pas un meilleur taux de mortalité que ceux qui ne l’on pas fait. Les statistiques sont disparates mais en moyenne non significatives.
Pr Jean-François Toussaint, https://u-paris.fr/covid-19-le-point-de-vue-de-jean-francois-toussaint/

[25] Santé et vaccins :

[26] Marc Dugain, élévation spirituelle, roman transparence https://youtu.be/sIGt1y0BjQw

Philippe Guillemant, Physicien, Le transhumanisme est le fruit de l’ignorance, la joie nous ramène vers un futur profondément humain et solidaire, https://youtu.be/FGqGhz7IRkg

[26a] Un siècle d’erreur scientifique : https://www.aimsib.org/2019/03/10/et-si-notre-organisme-netait-pas-du-tout-sterile-un-siecle-derreurs-scientifiques/

Louis Pasteur a volé à d’autres scientifiques les inventions qu’il s’est attribuées. La petite histoire des grandes impostures scientifiques : https://youtu.be/kwFKQyeRuz0

[27] Espace, temps, petit/grand, invisible/visble. La 5 dimension n’est prise en compte par les scientifiques que depuis 1984. Quant à la 6ème dimension, la plus importante de toute, elle ruinerait la composante chimique qui fait la fortune des industriels et des politiques.