Virus, détonateur relié au système immunitaire, explosif ou non

Virus, maladie infectieuse, système immunitaire ? Une équation simple ?

Il semble qu’au 21ème siècle, la médecine officielle, chimique et sous tutelle de la toute puissante industrie pharmaceutique, soit dans une impasse avec un virus et une maladie infectieuse. « Est-ce que ce monde est sérieux ? » chanterait l’ami Francis Cabrel !

Que dit la science ?

Toute maladie infectieuse est liée à une réaction du corps-esprit qui doit circonscrire une zone empoisonnée et éliminer le poison. Pour se faire, il enchaine plusieurs processus comme dilater les tissus, trouver des voies d’évacuation et créer des vortex électroniques. Ces vortex vont « télécharger » des photons. Ces photons sont porteurs d’information du vide quantique pour restaurer et informer en fréquences le ou les organes concernés.

L’information au cœur du vivant

Les découvertes scientifiques des dix dernières années sur le rôle de l’eau, de la lumière et de l’électromagnétisme ont permis de mettre en lumière ce que le Pr Marc Henry illustre très bien dans ses conférences[1].
Le virus serait donc un signal, une information qui peut « contaminer » un corps-esprit par voie :

  • Chimique – vitesse de déplacement moins de 1 cm/s sur des distances de l’ordre du centimètre ;
  • Influx nerveux – vitesse de 100 m/s ;
  • Énergétique – vitesse de 300 000 km/s sur des distances de l’ordre du mètre ;
  • Quantique informationnelle – vitesse infinie, déplacement instantané sans contrainte d’espace.

Nous vivons dans un monde non localisé où les choses séparées physiquement l’une de l’autre peuvent néanmoins communiquer instantanément.
– Russell Targ, physicien, sciences cognitives, Stanford Research Institute [2]

La vie et le mouvement

L’énergie est de l’information en mouvement. Et l’action est de l’énergie en mouvement. Si l’on bloque le mouvement, la maladie apparait. Toute énergie bloquée suscite une pression, des tensions. Plus la pression monte, plus la dilation, c’est-à-dire l’inflammation, augmente.

Dans notre quotidien, nous sommes inévitablement soumis à différentes pollutions et poisons.
Nous respirons, ingérons – voie orale ou cutanée – et recevons par voie invisible ces poisons[3]. Ces poisons polluent l’ensemble de nos liquides et la structure cristalline de notre eau quantique[4].

Lorsque notre eau quantique est plus ou moins déstructurée, l’information ne circule plus fluidement. Les tensions ou les pressions commencent. Avec l’âge et l’accumulation des pollutions, l’eau quantique se déstructure de plus en plus. Cette déstructuration dégrade la circulation de l’information, causant de tensions, altérant le téléchargement de lumière. Le vieillissement et les maladies s’accentuent.

La fraude scientifique

Pour avouer une telle impuissance face à une maladie infectieuse, il est nécessaire de commettre deux fraudes scientifiques majeures :

  • Limiter la connaissance, le domaine d’expertise et d’intervention à la seule chimie, partie superficielle de la matière qui ne peut exister sans le support de l’électromagnétisme – i.e. de l’énergie, de l’information quantique et de la conscience ;
  • Réduire l’équation à un seul facteur et attribuer la responsabilité de la maladie à ce seul facteur qui serait extérieur : le microbe, en l’occurrence ici le virus.

La déresponsabilisation est donc au cœur de cette désinformation, rendant le discours d’autant plus acceptable. Ce n’est pas ma faute mais celle du « méchant » virus…

Le virus et sa thérapie génique sont à la maladie, ce que la vitesse et le radar sont à la sécurité routière et ce que le CO2 et la taxe carbone sont au climat : des vérités très partielles, des leurres qui masquent les vraies causes. Ces leurres permettent de culpabiliser, terroriser et taxer pour mieux asservir par les contraintes et la dépendance.

Peut-on en effet raisonnablement accuser la vitesse en occultant les paramètres de compétence et état de santé du conducteur, capacités et état du véhicule, état de la route et des infrastructures, densité du trafic et conditions météorologiques ?

Monétiser le naturel

Pour le climat, peut-on décemment occulter que les océans sont le poumon de la planète et qu’ils constituent non seulement le premier piège à CO2, mais surtout qu’ils sont de grands régulateurs avec les courants comme le Gulf Stream !? Peut-on occulter que les industriels de la pêche sont les plus grands prédateurs de la biodiversité et les plus grands pollueurs des océans[5] ?
De même pour l’élevage et l’agriculture industriels.

Est-ce logique de monétiser le CO2, gaz naturel, aliment du végétal et inoffensif pour le vivant ? Alors que les vrais poisons – métaux lourds, pesticides et autres substances industrielles – sont tolérés et même ouvertement sponsorisées par la propagande transhumaniste !

La fabrique du consentement

Cette fabrique du consentement passe par la fabrique de l’ignorance et le marketing de la peur : l’opinion publique, manipulée comme jamais, se soumet dès lors à la dictature antiécologique d’une toute puissante oligarchie de la finance. Oligarchie qui contrôle industries et marionnettes politiques[6]. Mais tout système mauvais, finit, tôt ou tard par s’autodétruire.

Un virus détonateur ?

Le virus peut-être donc un détonateur. Mais uniquement chez ceux pour qui le corps est un explosif du fait d’un système immunitaire à faible vitalité.
Les virus ont toujours existé. Ils sont même quelques billions à être présents sur notre peau et à l’intérieur de notre corps, œuvrant au quotidien à nos processus vitaux. La vie ne peut se réaliser sans activité microbienne.

Louis Pasteur croyait le corps humain stérile[7]. Il s’est lourdement trompé puisque nous avons 10 fois plus de microbes que de cellules… Mais quid de la remise en cause de ses théories qui font la fortune des industriels ?

La vraie cause d’une maladie infectieuse est donc un défaut de vitalité du corps-esprit, qui pour retrouver son équilibre vital optimum, selon ses ressources du moment, va déclencher une réaction inflammatoire. Le virus n’est donc pas LA cause.

Un empoisonnement pour guérir un empoisonnement ?

La devise d’Hypocrate, « aller à la cause des causes, des causes, des causes« , a été enterrée par l’industrie chimique. Cette industrie préfère définir arbitrairement un ennemi chimique et imposer sa pseudo-solution brevetable et rentable. Cette démarche est d’autant plus contreproductive qu’elle affaiblit le système immunitaire au lieu de le renforcer. De nombreuses substances industrielles incluses dans les cocktails, sont en effet autant d’éléments indésirables pour le corps-esprit. Pour les évacuer, ce dernier doit fournir davantage d’effort, prioriser les choix, parfois au détriment de la rapidité du rétablissement, voire même du rétablissement.

N’est-il pas urgent et important de m’interroger, de me questionner et d’élargir mon horizon ?

  • Ai-je tous les paramètres ? Pourquoi le système immunitaire est-il le grand absent de tous les débats de santé ?
  • Les informations en ma possession sont-elles justes ? Qui les produit ?
  • Suis-je dans le juste si je singe un perroquet en répétant des informations hors de mon domaine d’expertise et d’investigation ?
  • Quels sont les conflits d’intérêts ?
  • Qui finance ceux qui assurent la promotion des produits industriels ?

Restons humbles. Devenons matures en nous abandonnant à la nature. En dehors de l’égo, je peux respecter la vie. Je deviens dès lors harmonie, véritable instrument de symphonie d’une conscience créatrice illimitée : celle qui nous relit et nous unit.

Illustration d’une inflammation

Le Dr Ryan Cole, pathologiste, illustre comment la protéine spike crée une inflammation par réaction du système immunitaire. Les examens sont réalisés sur des tissus prélevés à des personnes décédées suite à l’injection de la thérapie génique expérimentale.

Références & Ressources

[1] Eau et son, Pr Marc Henry

[2] Commentaire de Russell Targ dans un reportage spécial avec les producteurs du film Suspect Zéro (2004)

[3]Exemples de poisons : les émotions désagréables, peur, colère, haine, les pesticides, les métaux lourds, la pollution électromagnétique non naturelle, les perturbateurs endocriniens, les adjuvants, colorants et autres additifs alimentaires, les colles des hydrates de carbones chauffés – féculents, les acides générés par les protéines animales, etc.

[4] L’eau représente 96% des molécules d’un corps humain, le reste se partageant entre les ions minéraux et les autres molécules de carbone, azote, ADN…

Voir la vidéo de courant induit dans dans deux types d’eau : mécanismes de perturbations électromagnétiques sur les liquides

[5] Cf les documentaires seaspiracy (https://youtu.be/Rhr5MgN0ARY) et cowspiracy (https://etre-vivant.fr/crises-climatique-et-sanitaire-politiques-et-desastres-similaires/#_ednref3)

5 attitudes écologiques prioritaires

5 raisons pour être vegan

[6] Juan Branco, in « Crépuscule », https://www.youtube.com/watch?v=0IXhr5p_BPE

Cf Crises climatique et sanitaire : même politique, même désastre ?

Conscience, science, écologie : la crise m’a ouvert les yeux !

[7] Le microbiome se compose de bactéries, virus, levures et protozoaires à l’intérieur et l’extérieur du corps.

L’organisme n’est pas stérile, retour sur un siècle d’erreurs scientifiques : https://www.aimsib.org/2019/03/10/et-si-notre-organisme-netait-pas-du-tout-sterile-un-siecle-derreurs-scientifiques/

La nature est non locale. La vitesse de transmission d’une information est instantanée quelle que soit la distance. L’intrication quantique https://www.youtube.com/watch?v=28UN70790Do