Femme malade avec infection et inflammation

Maladie infectieuse et inflammation

Le narratif officiel sur la dangerosité d’une « nouvelle » maladie infectieuse pose la question : mais quels sont les fondements, les bases d’une maladie infectieuse ? Est-on sûr au 21ème siècle d’avoir réellement pris en compte tous les paramètres de cette équation ? Le microbe doit-il être l’unique cible de toute thérapie ?

Qu’est-ce qu’une maladie infectieuse ?

Toute maladie est multifactorielle mais il est essentiel de comprendre que les symptômes qui témoignent d’une maladie sont en premier lieu des réactions du corps-esprit qui se met en ordre de guérison pour rétablir un équilibre optimal favorable à la vie. A noter que plus les symptômes sont désagréables, plus l’effort pour rétablir cet équilibre ou harmonie de vie est important.

Irène Grosjean et le Dr Miguel Barthéléry distinguent quatre types de maladie. La première est dite fonctionnelle et constitue la maladie infectieuse. Le corps-esprit, empoisonné, va provoquer des inflammations pour circonscrire l’empoisonnement et permettre l’élimination par dilatation-inflammation.

Inflammation & guérison

L’inflammation est donc un processus de guérison. Dans un précédent article sur le rôle de l’eau dans le vivant, nous avons vu l’importance des vortex des électrons des molécules d’eau pour capter l’énergie des photons et l’information qu’ils transportent.

Il y a deux façons de créer des vortex :

  • L’un par des flux qui s’opposent – par exemple à la rencontre de deux cours d’eau de direction opposée ;
  • L’autre par une différence thermique.

Nicolas Léonard Sadi Carnot a publié en 1824 le cycle de Carnot : un différentiel thermique est une source motrice, génératrice.

La dilatation-inflammation va ainsi créer une zone malsaine plus chaude, contrastant avec la zone saine. Ce contraste va générer des vortex d’électrons que certains physiciens comparent à de minuscules trous noirs. Ils absorbent en effet la lumière – photons – et de l’information nécessaires à la guérison.

Et plus le spin – la rotation de l’électron – est élevé, plus les énergies captée et restituée sont importantes !

L’électron a de profondes analogies de structures avec les Trous noirs, au point qu’on peut le qualifier de micro-trou noir.

– Jean-Emile Charon, physicien et philosophe, 1920 – 1998

Contrôler l’inflammation

Alors comment expliquer que le célèbre hollandais « Ice Man », Wim Hof pour les intimes, puisse contrôler les inflammations et les toxines ou autres bactéries qu’il se fait injecter au cours d’expériences scientifiques ? Dont les résultats contredisent désormais les croyances médicales[1].

Wim Hof explique que sa méthode de respiration permet de contrôler l’inflammation par la relaxation, sans pour autant laisser le système immunitaire inactif, bien au contraire.

Et d’un point de vue biologique et cellulaire, les effets sont contrôlables et observables.

La relaxation et une respiration consciente ad hoc seraient donc à l’origine d’états physiologiques propices à la santé ! Est-ce réellement nouveau pour ceux qui observent la nature ?

La respiration est la première étape de vie de l’humain, avant même l’alimentation, la régénération ou l’élimination. Toutes choses égales par ailleurs, ceux qui respirent consciemment et/ou plus intensément, en pratiquant une acticité physique régulière, le yoga ou la méditation par exemple, sont globalement en meilleure santé.

Il n’existe aucune matière sans information, énergie et conscience. L’invisible préside au visible.

Invisible et visible

Les sciences modernes affirment que l’invisible – l’infiniment petit et le vide quantique, soit 99.999% de la réalité – préside au visible – la matière, soit 0.001% de la réalité.

Les vortex sont au cœur de l’invisible. Mais le cœur est le plus gros vortex chez l’humain et ce, à double titre. Sa structure est en effet hélicoïdale, rappelant ainsi la torsion du vortex. Ces contractions assurent par ailleurs un double vortex dans un sens sur la partie haute – oreillettes – puis dans le sens opposé sur la partie basse – ventricules.

Ainsi, par sa structure et son activité « vortex », le cœur délivre un potentiel magnétique 5000 fois supérieur à celui du cerveau de la tête et 100 fois supérieur en potentiel électrique.

Suite à ses recherches et selon les dernières découvertes scientifiques des 20ème et 21ème siècles, Stéphane Drouet, psychopraticien neuroquantique, suggère que le nœud atrioventriculaire est au centre de l’humain, un point non duel, le centre d’information capable de se nourrir des informations du vide quantique et de cette divine matrice évoquée par Greg Braden[2].

Le cœur serait donc le grand chef d’orchestre de la vie.

Cohérence ou variabilité cardiaque

La respiration pratiquée et enseignée par Wim Hof permet une meilleure cohérence ou variabilité cardiaque. A la fin des années 90, le Dr Ary Goldberger a mis en évidence que selon l’écart entre les battements du cœur, ce dernier émettait des sentiments différents.

La cohérence cardiaque est directement impactée par la plasticité du péricarde, lui-même dépendant de la structure des molécules d’eau.

Le Dr Martin Chaplin a prouvé que l’espacement entre les molécules d’eau et leur structure impactait directement la santé[3]. Leurs tensions et dilatations seraient directement liées aux points d’attachement des évènements de la vie. Et plus il y a d’espace, mieux la vie s’exprime.

Entre 50 et 80 pulsations/minute, le cœur sera donc mieux à même d’exprimer la patience, la paix, le calme, le courage, l’empathie, la compassion, l’amour et la santé.

La plasticité du cœur et la cohérence cardiaque sont directement liées à la souplesse des autres tissus et fascias.

Dans ses expériences cliniques, Stéphane Drouet a pu mesurer une évolution spectaculaire de la cohérence cardiaque en enchainant une méditation de détachement – de sa conscience personnelle – puis une pratique dédiée de respiration.

Schéma des consciences, vide quantique et matière
L'eau fait le lien entre le vide quantique et la matière. Les attachements contractent l'eau et limitent la conscience.

Conscience limitée ou illimitée ?

Et si la respiration consciente et le détachement nous amenait dans cet espace de conscience illimitée – les 99.999 % de la réalité qui conditionnent les 0.001% de matière qui limitent notre conscience – ? Un espace de conscience où tout est illimité, tout est amour ? Où il n’y a ni jugement, ni bien ni mal mais juste une conscience qui, dans l’instant, garantit la perfection de ce qui est ?

Ne dit-on pas que la première étape vers la guérison est l’accueil de ce qui est ? Que le refus ou le déni de la maladie entraine des contractions – des molécules d’eau, des fascias et donc du cœur, entre autres – qui sont néfastes à la santé ?

Et si l’acceptation est d’ordre mental, en provenance de notre conscience limitée par la matière – les 0.001% du visible, l’accueil est lui de l’ordre de la conscience illimitée – les 99.999% du vide quantique invisible. L’acceptation peut même s’avérer être une résignation, provoquant une certaine violence et donc des tensions. L’accueil ne passe pas par la case « mental » et ne touche pas… 😉

Se détacher de la conscience limitée par la matière est-elle la solution pour accéder à l’abondance de cette conscience illimitée source du grand TOUT, et donc de toutes choses ?

Finalement, les plus perspicaces pourront comprendre que le seul problème du pouvoir insoupçonné de la nature est d’être incompatible avec le business model de l’industrie pharmaceutique… Industrie qui contrôle les médias et les politiques.

A suivre…

La peur est l’énergie qui contracte, referme, entasse et blesse.

L’Amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, révèle et partage.
– Neale Donald Walsch, in « Conversation avec Dieu »

Ressources et références