Les sciences du vivant sont par nature partielles, voire fausses. Le cerveau humain est limité par nos perceptions sensorielles, elles-mêmes limitées[1]. La réalité perçue par le cerveau est donc partielle.
Ne pouvant connaître la réalité ultime, le savoir humain est donc limité.
Toutes les vérités établies au nom de la science sont donc relatives au savoir du moment, dans un référentiel limité. Et sujettes à évolution.
Ainsi de nombreuses croyances des 19ème et 20ème siècles sont donc aujourd’hui totalement obsolètes, partielles ou fausses[2]. Mais toujours persistantes chez certains…
Une vision étriquée
La vision et l’appréhension du cerveau sont limitées car un fragment ne peut voir que ce qui est partiel.
Mais l’autre limitation vient d’une vision trop souvent spécialisée et non globale des mécanismes du vivant.
Ainsi la quasi-totalité du corps médical est conditionnée à la seule chimie, infime partie émergée de l’iceberg qu’est le monde du vivant. Ce, pour des raisons historiques de business.
Ignorant les sciences du quantique, de l’eau, de l’épigénétique ou encore de l’électromagnétisme, la vision très simpliste de la médecine chimique la rend inapte à comprendre les mécanismes des constituants de la matière, donc du fonctionnement même des molécules et des cellules.
Autre exemple, l’étude temporelle du climat est trop restreinte eu égard à l’âge de la planète pour être significative et comprendre les évolutions naturelles de cet être vivant[3].
Isoler un paramètre
Une autre fraude classique est d’isoler un seul paramètre dans une équation du vivant où par essence, la multiplicité des différents facteurs est incontournable.
Dans le domaine quantique de l’information, la relation au temps n’existe pas. Ainsi les interactions ne sont pas linéaires – du passé vers le futur, de A vers B – mais simultanées et bidirectionnelle – de A vers B ET de B vers A.
La notion de Totum[4 est purement ignorée du corps médical et des politiques qui veulent désigner un seul responsable-coupable d’un phénomène pour vendre la solution antidote. A un seul ennemi déclaré, un seul processus remède autoproclamé… chimique, technologique, industriel, commercial, politique et sociétal.[5] 😉
Pour dénoncer les mensonges de l’institution politique GIEC, ses plus éminents scientifiques en ont démissionné[6]. Le CO2 n’est en aucun cas le paramètre prioritaire des changements permanents du climat. Ce dernier dépend principalement des rayonnements solaires et du champ géomagnétique terrestre. Pourquoi ce B.A.ba de la climatologie est-il censuré des rapports du GIEC ?[7]
Corrélation, cause à conséquence
L’autre grande fraude dont abusent les scientistes, les politiques et autres idéologues – qui servent plus des causes totalitaires ou commerciales qu’écologiques, est de considérer qu’une corrélation statistique est une preuve de causalité.
Ainsi le CO2 n’est pas la cause d’un réchauffement de la planète mais plutôt une conséquence[8]. Une corrélation peut éventuellement prouver une causalité. Mais quels sont les paramètres cause et conséquence ?!
De même le virus n’est pas LA cause de la maladie, sinon tout le monde serait malade de la même façon. Il n’y aurait pas de porteurs asymptomatiques[9].
Et comme tous les éléments du vivant sont intriqués dans des interactions multiples, il est très facile de berner les crédules en manipulant les données statistiques pour extraire les cas dissidents de la corrélation et ainsi lisser la courbe pour obtenir une meilleure réponse statistique.
L’industrie pharmaceutique est coutumière du fait. Pour que les courbes de corrélation collent à l’objectif, tous les prétextes peuvent être utiles pour extraire les individus qui ne répondent pas à la cause défendue et à la statistique. La dernière crise sanitaire l’a prouvé. Cette industrie est d’ailleurs la plus condamnée au monde pour ces fraudes et tromperies[10].
Les chiffres officiels prouvent la supercherie
Le statisticien Pierre Chaillot démontre que les chiffres officiels prouvent sans ambiguïté possible, à l’issue de la période, qu’il y a eu une pandémie de tests positifs et non de gens malades. Les projections apocalytiques étaient sans aucun fondement scientifique. Rappelons que les mesures prises ont aggravé la situation puisque tous les pays ayant adopté les pires mesures sanitaires restrictives ont connu les pires résultats, versus ceux qui ont laissé leur population libre.
Chiffres truqués = milliards encaissés
L’industrie pharmceutique s’appuie-t-elle vraiment sur une démarche scientifique ? Est-ce compatible avec son business model ?
Des projections mathématiques
Toutes les projections mathématiques concernant les crises sanitaires ou climatiques se sont avérées fausses[11]. Le vivant n’est pas modélisable car la multiplicité des interactions entre les multiples éléments rend impossible, prétentieuse et illusoire toute projection.
D’une part parce que tous les facteurs de l’équation ne sont pas tous connus ou simplement pris en compte. D’autre part parce que toutes les interactions entre ces facteurs ne sont pas connues.
Des pics aux moyennes
Que ce soit pour la crise sanitaire ou celle climatique – et plus récemment celle et de l’eau[12], la fraude classique utilisée par les apôtres de l’apocalypse est de ne pas comprendre, à dessein ou par stupidité, qu’un pic saisonnier ne constitue en aucun un révélateur d’une tendance. Une tendance doit être lissée dans le temps pour être significativement digne d’intérêt[13].
Un postulat de base faux
Suite à cette corrélation qui ne prouve rien, un postulat est établi sans aucune preuve scientifique. Ainsi une corrélation montre que près de 100% des femmes ayant un cancer du col de l’utérus ont un papillomavirus. Mais 80% des femmes ont un papillomavirus et pourtant 100% d’entre-elles n’ont pas de cancer. Ainsi est né un médicament préventif, inutile et dangereux selon les résultats observés[14].
De même le mensonge sur le soi-disant réchauffement climatique permet d’occulter le véritable fléau : la pollution industrielle dont les complices, peu avertis, sont les consommateurs crédules.
Le défaut d’observation
En science, une loi doit être universelle ou n’est pas. Elle ne peut souffrir aucune exception dans un référentiel donné. Ainsi la reproductibilité touteschoses égales par ailleurs est illusoire dans le domaine du vivant, où la conscience et les mécanismes vibratoires invisibles sont bien présents.
Aussi les approximations statistiques du domaine médical – ce médicament est efficace à 85% – signifie que les cas qui échappent à l’affirmation autoritaire, invalident la loi. Une loi qui n’est pas universelle n’est pas une vérité.
Ainsi depuis 2015, les observations rigoureuses montrent qu’il n’y a plus d’élévation de température de la terre mais une stagnation, voire même une légère régression.
Les arguments d’autorité
Le crédule, par ignorance, peur et paresse intellectuelle, sera porté à croire les blouses blanches ou autres scientistes présentés comme « autorité compétente« .
En l’absence de tout argument précis et rigoureux, la « Vu à la TV » associé à un titre et un CV, sera le garant d’une vérité absolue. Une illusion dans le domaine du vivant !
L’inversion de la charge de la preuve
Alors que les spéculations politiques et industrielles sur les différentes crises ne reposent sur aucun argument et preuve scientifiques, l’affirmation répétée du mensonge, à grand renfort de matraquage médiatique, sert de preuve. La charge de la preuve est transférée à ceux qui contredisent les mensonges pourtant grotesques. Le « Vu à la TV » est devenu une preuve « scientifique » suffisante ! Alors avec l’avènement de l’Intelligence Artificielle, il va devenir encore plus facile de mentir. La caution I.A. servira de garant scientifique pour les crédules.
Incompétence et conflit d’intérêt
L’histoire politique du GIEC illustre ô combien les politiques peuvent décider de vulgariser l’idéologie par le choix de ne financer que les scientifiques qui cautionneront leur cause…
De même, les lobbys industriels sont très présents dans les hémicycles du monde entier et les organisations supra-gouvernementales pour créer et faire adopter les lois qui leurs sont favorables : ne pas traiter la pollution et obliger la consommation de leur produit sous prétexte de sécurité sanitaire, climatique, etc.
Le déni de la science
Le négationnisme scientifique est désormais la martingale des manipulateurs en tout genre.
L’exercice est d’autant plus simple face à une population inculte, stressée[15] et totalement asservie au « prêt-à-penser » et au politiquement correct. Il est amusant d’observer comment les plus peureux d’entre eux se vautrent dans le panurgisme, une pathologie naturelle qu’il convient d’aborder avec la plus grande compassion.
Ces adeptes du « prêt-à-penser » n’ont même pas conscience de leur intolérance et sectarisme vis-à-vis des scientifiques et autres lucides qui sont privés de débat et de partages scientifiques.
L’intelligence artificielle pourra-t-elle changer la donne ? Rien n’est moins sûr ? Bien au contraire ! 😉
A suivre.
La faillite de la démarche scientifique
Le scientifique et biologiste Christian Vélot revient sur les fraudes scientifiques, l’inversion des valeurs, la charge de la preuve…
Lire aussi
Santé : comment reconnaître les fraudes scientifiques
La pratique courante des fraudes scientifiques au service des lobbys industriels.
Références & Sources
[1] Sens prépondérant chez l’humain, la vue ne perçoit pourtant qu’une infime frange du spectre électromagnétique. Si ce spectre faisait 30 millions de kilomètres de long, la portion visible serait de seulement 3 cm ! https://astro-canada.ca/le_spectre_electromagnetique-the_electromagnetic_spectrum-fra
[2] Le mercure, véritable poison pour le vivant, était utilisé comme médicament pour traiter la syphilis !
https://www.revuepharma.fr/2017/04/mercure-soignait-verole/
[3] Cf l‘étude sur la carotte glaciaire
[4] Totum : le Tout est supérieur à la somme des parties. Les interactions entre les différentes parties créent un Tout bien distinct de la somme des parties. La Vie ne peut se résumer à un assemblage de type lego, où les pièces seraient interchangeables et indépendantes les unes des autres.
[5] Cf l’article Les 7 péchés scientifiques de la crise sanitaire
[6] Cf leur livre http://climatechangereconsidered.org/wp-content/uploads/2019/01/Full-Book.pdf
[7] Cf l’article Climatosceptique, crédule immature ou scientifique non corrompu ?
[8] Voir l’article Consensus scientifique pour dénoncer la propagande climat
[9] Cf l’article maladie infectieuse et inflammation et virus, maladie infectieuse, système immunitaire, une équation simple ?
[10] Lire les articles Agnotologie : comment la fausse science fabrique croyances et ignorance
et Pandémie de fake news et mensonges
[11] Tout comme les projections pour la pénurie de pétrole et pour la pénurie d’eau, autre absurdité basée sur l’ignorance des réserves d’eau à l’intérieur de la terre https://www.amilo.earth/eau-primaire-penurie-etude-scientifique/?part=359
[12] Cf l’article Eau primaire et pénurie d’eau ?
[13] L’infirmité intellectuelle à comprendre une différence entre pic et moyenne, illustrée dans ce débat sur un plateau TV, le statisticien Pierre Chaillot face à des journalistes défenseurs de la thèse officielle https://odysee.com/@Roms17:d/Pierre-Chaillot-invit%C3%A9-sur-CNEWS—3-f%C3%A9vrier-2023:b
[14] Pour la fraude sur le papillomavirus https://etre-vivant.fr/science-vs-scientisme-differences-croyances/#_edn5
[15] Cf l’article Quand le stress paralyse l’activité cérébrale
L’ingérance politique en science
Le gouvernement français a-t-il fait preuve d’une inacceptable ingérence dans la production scientifique en sciences médicales ?
https://edition.francesoir.fr/opinions-tribunes/gouvernement-francais-inacceptable-ingerence-dans-science
Crédit photos :
- Genty de Pixabay pour le trou de ver
- Chuk Yong de Pixabay pour les symboles scientifiques