Une demande de pardon aux intégristes

Pardonnez-moi d’être aussi maladroit !

« Papa, tu t’y prends mal ! »

Dans la crise sanitaire de la conarovirusite, je confesse humblement avoir parfois péché par emportement face à certains comportements idéologiques – et donc pas du tout logiques, plébiscitant les mesures liberticides et déshumanisantes imposées dogmatiquement par de nouveaux prédicateurs…

Une nouvelle religion

« Papa, tu t’y prends mal ! »

La sanction est tombée le week-end dernier. Mon fils, à la logique implacable du jeune ingénieur, m’a asséné le diagnostic !

Face aux réactions totalement irrationnelles d’une grande partie de la population et de certaines de mes connaissances, je lui ai effectivement confié mes agacements ou colères ponctuels. Pourquoi perdre son calme au lieu d’accueillir sereinement cette pandémie d’infirmités – cécité mentale – à appréhender la réalité et à remettre en cause les sujets d’un débat pipé ?
Je sais, ce n’est pas bien. Mais Je suis humain. 😉
Et dans le courant de pensée unique imposé par les prédicateurs du transhumanisme, je ne sais plus trop si, réfléchir par soi-même sans l’aval du journal de 20h est possible ? Une majorité d’individus y semble soumis et le confirmerait donc.
Est-ce d’ailleurs encore autorisé de penser librement et réfléchir par soi-même en dehors du prêt-à-penser du politiquement correct ?
Avec toutes les mesures liberticides unilatérales imposées par une autorité – qui se veut supérieure, et dont les motivations ne sont de toute évidence pas le bien-être des citoyens, je m’interroge ?

Pourquoi d’ailleurs la plupart des gouvernements appliquent-t-ils sans concertation ces mesures liberticides et contreproductives pour la santé ? Sans aucun fondement scientifique, ils suivent aveuglément les dogmes de l’OMS, porte parole des industriels de la pharmacie. Ils pratiquent à l’envie les 7 péchés capitaux décrits dans un précédent article.

Déshumaniser pour mieux régner…

Comme dans toute religion, secte ou dictature, la peur, la culpabilisation, la corruption, la désinformation, la propagande, la focalisation par la surinformation, les dogmes, les croyances et les fraudes intellectuelles et scientifiques sont les carburants d’une démarche qui vise à soumettre, mentalement puis physiquement.

Pour l’occasion, les industriels réduisent le périmètre scientifique à la seule chimie du microbe comme cause unique de la maladie. Cette fraude, évidente pour les gens un peu cultivés, autorise les conclusions fantaisistes que la maladie est très mortelle et qu’en l’absence de vaccin, seules des mesures liberticides – muselière, oups! masque, isolement, distanciation sociale, confinement, censure, confiscation du débat contradictoire, intimidation, répression –  permettront d’éviter… La mort !
Les prédicateurs évitent de préciser qu’il s’agit de mort physique, car les mesures prises peuvent conduire directement à la mort identitaire, économique, sociale, fraternelle, la mort de la nature et la mort des libertés, ce, sans passer par la case départ et sans toucher 20 000… C’est la prison assurée.
Comme plan pour rester vivant, peut-on créer mieux svp ?

L’asservissement de l’humain au transhumanisme anti-écologique des industriels, peut-il être une évolution positive et agréable de l’humanité ?
Pour faire face à quelle menace ? Pour quelle dangerosité en comparaison des ravages des soins médicaux, de la famine, de la malbouffe, des guerres civiles, des effondrements économiques ou simplement du stress de la vie moderne occidentale ?

Le déni par la sidération

Alors voilà deux réactions qui m’ont fait réagir. Le lecteur voudra bien noter que je fais de gros efforts pour mieux comprendre comment l’illogisme de certains est un révélateur pour moi ? 😉

Le taux de létalité de la maladie est très faible.
– « C’est grâce au port du masque et au confinement » , voilà pourquoi cette réponse-objection est stupide : le taux de létalité est le rapport entre le nombre de décès et le nombre de malades. Les mesures liberticides sont, soi-disant, des mesures de prévention : elles n’interviennent pas une fois le patient malade et sont donc sans rapport avec la faible mortalité.

La majorité des porteurs (85% à 90%) est asymptomatique.
– « La pandémie progresse car le nombre de cas explose », cette affirmation est fausse. Le caractère dangereux d’une pandémie est la propagation du nombre de malades associé à un taux de létalité élevé. Parle-t-on de pandémie de rhume ?

Alors comment peut-on nier l’évidence lorsque l’on n’est pas corrompu ou totalement attardé mental ?

Dans les thérapies comportementales, cognitives et émotionnelles, le comportement humain s’analyse selon trois axes énergétiques :

  • Ce qu’il pense (réflexion) ;
  • Ce qu’il ressent (émotions, ressentis) ;
  • Ce qu’il fait et ce qu’il dit (actions, mouvement du corps, etc.).

Lorsqu’un état de sidération se produit par un excès de peur ou d’enthousiasme pour un leader – tel les gourous ou les dictateurs – l’essentiel de l’énergie disponible sera absorbé par le ressenti, laissant peu de place à la pensée ou à l’action. Ne dit-on pas que l’amour rend aveugle ?

La sidération est donc une anesthésie temporaire des facultés mentales d’observation, analyse et réflexion.

De même, si dans le cadre d’un acte terroriste votre intégrité physique est menacée, après avoir passé le stade de la sidération du ressenti (la peur), pour passer (ou pas ?) en mode fuite, instinctivement toute votre énergie sera disponible pour l’action de fuite. Il sera alors difficile de vous demander de faire du calcul mental… Vous avez mieux à faire à ce moment là !

Pour réveiller un hypnotisé par la peur ou la vénération du prédicateur, le toucher est une première approche pour qu’il se rende accessible à la réflexion. Ce n’est pas toujours facile au téléphone ou par ordinateur interposé. Et dans ces conditions, la pédagogie semble peu efficiente. Notez bien que je ne cherche en aucun cas à minimiser ma responsabilité dans les échanges peu productifs avec certains intégristes, juste à valoriser à sa juste mesure le chalenge proposé dans ces conditions ! 😉

L’égocentrisme porte-étendard de l’inconscience

Hormis la sidération, l’égoïsme et l’égocentrisme sont les autres grades causes de la soumission des uns pour assouvir la domination des autres.

Comment expliquer l’inconscience de certains face aux mécanismes liberticides qui se mettent en œuvre ?
Un certain nombre de privilégiés ne sont pour l’instant pas atteints par la crise économique. Leur confort matériel les préserve encore de toute remise en question du système.
Pour certains, le gaspillage de l’argent public est même une aubaine économique qu’il faut encourager. Business is business !
Pour d’autres, en particulier les médias, la perfusion financière aux industriels impliqués et à l’argent public en fait des complices faciles et serviles.
Enfin pour certains pantins politiques ou pseudo-scientifiques, leurs « sponsors » les actionnent à leur guise, ils sont liés par des conflits d’intérêts… consciemment ou inconsciemment.

Ignorance, conscience et responsabilité

L’ignorance des sciences du vivant ne constitue en aucun cas un obstacle à une vie épanouie et heureuse dès lors que ses seuls référent et horizon sont le respect de la nature et du vivant, contraire aux intérêts industriels et politiques.

Cette ignorance devient par contre l’alliance de l’incompétence, des manigances et de la maltraitance dès lors qu’elle cautionne par aveuglement idéologique tous les ingrédients de l’imposture sanitaire.

Il n’y a pas de bon disciple sans un bon maitre et réciproquement, pas de bon maitre sans bon disciple. Pour qu’un échange soit fructueux, recevoir et donner sont obligatoires. La communication est alors bidirectionnelle.

Aussi j’assume ma responsabilité à ne pas être à même de réveiller un hypnotisé sidéré, un intégriste ou un fanatique qui vit sous l’emprise de la peur, de l’idéologie ou même d’un égoïsme forcené.

Les prédicateurs et leurs adeptes peuvent donc me reprocher :

  • Une approche globale et rigoureuse d’un sujet en y intégrant le maximum de paramètres  (vs une vision étriquée, voire monofactorielle) ;
  • Un détachement de l’obscurantisme du 19ème siècle sur le dogme des microbes (vs l’ignorance volontaire des sciences modernes des 20 et 21ème siècles)   ;
  • Une capacité à observer les faits, les analyser et relativiser les chiffres (vs l’utilisation d’un seul indicateur, celui que l’on change en fonction de sa capacité à faire peur) ;
  • Une culture des différentes sciences du vivant qui permet de remettre en cause la légitimité de la médecine officielle, des « autorités » et des industriels de la pharmacie ;
  • Un travail de recherche en dehors des médias mainstream (vs le discours unique des industriels) ;
  • Une lucidité sur la corruption et la désinformation avec notamment l’énorme escroquerie de la fausse étude contre l’hydroxychloroquine parue dans The Lancet !

Mais vous ne pouvez pas me reprocher mon honnêteté, mon intégrité ou ma remise en cause.

Et si parfois je m’oppose un peu vertement aux dérives sectaires et dogmatiques de cette crise historique – un tournant majeur dans l’histoire de l’humanité moderne, c’est plus pour avoir la conscience tranquille de la juste attitude que pour vouloir convaincre l’adapte sectaire hypnotisé.

En 1936, un certain Hitler a pu accéder au pouvoir grâce à la passivité silencieuse d’une majorité.