Quand l’ignorance se veut pseudo-science,
Que l’intelligence s’efface face aux croyances,
L’illusion précède et renforce la désillusion.
La désinformation sert la manipulation,
Déchaîne d’imbéciles et stériles passions,
Impose pollutions et délétères directions.
L’aveuglement au tout technologique
Est une chimère symptomatique
D’une société matérielle et superficielle,
Où la négation de notre essence spirituelle
Devient la religion d’un dieu pognon
Qui nous rend tous égoïstes et cons,
Mais dont seuls les maîtres tirent profits,
De ces postures de moutons dé-con-fits…
Du CO2, élément et aliment naturels
Pour le végétal est providentiel
Pour l’homme est inoffensif
Mais pour la propagande, subversif.
Alors que la pollution électromagnétique,
Selon d’universelles lois de physique quantique
Dérègle de toute vie la divine mécanique,
Avec un burn-out de l’équilibre homéostatique.
Que les inutiles mais rentables pesticides,
Sont aux sols ce que les vaccins sont à l’humain,
De puissants agents vecteurs de génocide,
Qui posent la vraie question du lendemain.
La sur-diffusion médiatique de fausses opinions,
Fondées sur de simples statistiques corrélation
En seulement quatre partielles dimensions[1]
Peut-elle remplacer le bon sens et la réflexion ?
Pour adopter simplement la juste attitude,
Celle qui conduit à une durable béatitude,
Il n’existe qu’un seul et unique référent,
Celui qui évite tourments et errements.
Il ne peut être technologique,
Encore moins d’esprit politique.
Et s’il est plus subtil,
Il n’en reste pas moins utile.
Ce garant absolu est dame nature,
La respecter c’est être mature !
Tout attitude contraire,
Fruit d’un ego pervers,
De postures arbitraires,
Reviens à nier l’univers.
– Thierry Alingrin