Pandémie, virus et perte d'autonomie

Pandémie et perte d’autonomie

Te voilà coronavirus pandémie
Soulignant nos pertes d’autonomie.
Par nos faiblesses immunitaires,
Nos défenses naturelles tu fais taire.

Par toutes sortes d’extrêmes pollutions,
Conséquences de nos insensées consommations,
Pour satisfaire de réelles mais dévoyées émotions,
Notre corps-esprit se voit privé de ses fonctions.

A la merci de ces politiques industrielles,
Et de leurs conséquences criminelles,
Nous voici incapables de nous protéger
De ces postures de terreur exagérée,
Prétextes à leur conduite nous imposer,
Des injections vaccinales nous contaminer,
De la délétère 5G nous sur-exposer
Causes principales désormais déterminées.

Au 21ème siècle par ta virulence,
Tu moques la médecine dite science,
Qui en est restée aux fausses croyances
Du 19ème de Pasteur et ses (faibles) connaissances,
Qui ne sont que désolations et erreurs,
Justifiées par la désinformation et la peur,
Assurant pour quelques-uns une improbable rente,
Même si les autres, prennent la mauvaise pente.

Par ta fulgurante propagation,
Tu pointes la mondialisation,
Comme vecteur d’interdépendances
Qui se transforme en défaillance
Dès lors où la rupture d’un maillon
De cette chaîne de délocalisation
Fais de nous de sacrés couillons,
Otages d’une logique d’aliénation.

Pourtant l’analyse ne doit pas pointer l’union,
Mais bel et bien le non-respect de la nature,
Fruits de ces egos de mal-aimés immatures,
Dirigeants ou citoyens aux égoïstes opinions,
Handicapés de la Vie qui ne peuvent jouir,
De cette unicité avec l’énergie universelle,
Qui rend la vie plus simple et si belle,
Seule voie de l’essentiel pour s’épanouir.

COVID-19, un nom technologique,
Pour une magnifique invitation
De par les restrictions et inactions
A quitter la frénésie pathologique,
Pour s’engager sur le chemin divin
D’un instant présent très serein.

Remettre en causes ses croyances,
S’appuyer sur les faits et la réalité,
Pour en effet saisir la seule vérité
En associant science et conscience.

Devenons matures, respectons la nature.

– Thierry Alingrin