Mains prisonnières sur des barbelés avec en fond les mots réel et vérité

Arbitraire, sectaire, totalitaire, père révélateur de Vérité ?

Dans un monde désormais gouverné par la religion scientiste-ia-transhumaniste, quelle meilleure opportunité de vivre intensément le faux pour découvrir le vrai ?

Quoi de mieux
Qu’un régime transhumaniste totalitaire,
Et ses vilaines dérives légales sectaires
Imposées par quelques milliardaires
Et leurs marionnettes fonctionnaires ?

Quoi de mieux
Qu’un diktat d’un scientisme arbitraire,
Pour mieux se défaire de l’autoritaire,
Avec une attitude d’abandon débonnaire
Plutôt que de rugir tel un réactionnaire ?

Quoi de mieux
Que de stupides règles techno-sanitaires,
Proclamées par l’imaginaire de tortionnaires,
Qu’un acte d’Amour en notre Nature mère
Pour se préserver du techno-trans-délétère !

Et révéler que
Seul, le véritable Amour sincère
De la Vérité naturelle qui libère,
Transporte au-delà des chimères
Dans un état de sérénité prospère.

La Vérité n’est autre que la Réalité,
Totalité instantanée sans discontinuité,
Où seul l’égo crée l’illusion de la dualité
Alors que seule est, la Source-fruit Unité.

Sous prétexte de science
On impose des croyances
Autant d’insultes à l’intelligence.
Alors faut-il prêter allégeance ?

A cette nouvelle aristocratie,
Autoproclamée royale dynastie
De l’avènement trans-tyrannie
Qui voudrait supplanter la Vie ?

Et si le meilleur guide vers la lumière
Était ce père totalitaire-sectaire ?
Du mal, un insoutenable sublime créateur ;
De la vérité, un incontournable révélateur.

Pour mieux savourer ce poème inspiré suite à une conférence sur l’IA et le transhumanisme dans un contexte de régime totalitaire, 3 courts articles sur la non-dualité et la vérité pourront éclairer la réflexion :

L’enseignant le plus sage et le plus qualifié est la Nature elle-même.
– Léonard de Vinci, 1452-1519

Références

Crédits photo :

  • Mains sur barbelés : Gerd Altmann de Pixabay
  • Source lumineuse univers : Gerd Altmann de Pixabay
  • Composition : Thierry Alingrin de Nulle part et ailleurs, simultanénement 🙂