Virus et planète terre - Civilisation

Ose la remise en cause, la connaissance libère de la peur et l’ignorance

Te voilà virus et virile couronne,
Remettre en cause une civilisation
Qui joue les immatures fanfaronnes,
Avec de la technologie dévotion.

La théorie isolement et confinement
N’est liée qu’à Pasteur et ses boniments
D’un méchant microbe exterminateur,
Comme seule réelle cause extérieure,
Faisant de cette absurde dualité
Une diabolique contre-réalité.

Parce que l’Univers est unité,
Invisible et visible sont interconnectés,
Au-delà du simple contact physique,
Par d’universelles lois d’énergétique,
Peur, joie, rire, toutes les émotions
Sont vecteurs « sans-fil » de contagion.

Les lobbies systématisent les manigances,
Sous-couvert de fraudes et pseudo-sciences,
Orchestrent et vulgarisent l’ignorance
Pour promouvoir une factice intelligence,
Faisant de certains au gouverne-ment,
D’inégalables pantins incompétents.

Du CO2 et sa fausse écologie,
Tu révèles la vraie pathologie,
De l’humain et ses déficiences,
Confiné à ses fausses croyances :
Que l’agresseur virus est extérieur,
Tel un démoniaque exterminateur,
La Nature devient objet de terreur
Pour glorifier de technologiques sauveurs.

Cette folie de pathétiques profiteurs,
Qui se veulent généreux dominateurs,
Mais sont surtout d’incroyables affabulateurs,
Légitime leur comportement de dictateurs.

Vaccins, pesticides, 5G, wifi sont délétères,
Plus que la vie microbienne naturelle,
Ils boostent notre retour six pieds sous terre
Au prétexte de confort et sécurité artificiels.

Or il ne peut exister épidémie et pandémie,
Que par d’industrielles pollutions boulimie,
Ou par l’absence d’hygiène corpo-alimentaire,
Comme le prouvent les faits élémentaires.

De la chimie et des sans-fil technologies,
Peut-on faire l’apologie des vices,
Sans devenir un collabo-complice
Du subterfuge de l’alibi écologie ?

Occulter que la pharmaco-malveillance,
Sur le vivant entérine la dégénérescence,
C’est s’enivrer d’une meurtrière inconscience,
Qui conforte à une pratique insouciance,
D’un matérialisme techno-superficiel,
Qui nie notre divine nature essentielle,
Et sacrifie sur l’autel de la rentabilité,
Toute démarche d’unité et spiritualité.

Pour des lendemains sereins et placides,
Méditons pour rester paisibles et lucides.

Devenons matures, respectons la nature.

– Thierry Alingrin