Amour et compassion, jeune homme prisonnier

Etre fraternel, vivre le lien au delà du superficiel

Quand l’Amour et la compassion sont essentiels

L’humanité est-elle à ce point pathétique ?
Que le pouvoir d’adeptes hystériques,
Par la peur panique ne peuvent se taire,
Plébiscitant la dérive arbitraire et sectaire ?

L’inversion des valeurs est-elle la nouvelle norme ?
Celle où l’immense ignorance conjugue arrogance
Pour imposer violence, maltraitance et malveillance
Dans un concert de manigances qui désinforme.

Quel bel exercice d’amour et de compassion
Envers ces adeptes consignés à cette mission,
Sans aucune justification que celle de l’illogique
Aveuglement au conditionnement idéologique.

Comment sensibiliser pour provoquer le réveil ?
Partager bienveillance, connaissance et éveil ?
Pour jouir d’un présent libre, joyeux, serein
Sans contrainte ici, demain, sans aucun frein ?

N’est-il pas temps d’abandonner le morbide refrain ?
De ce prétexte pandémie et son funeste dessein ?
Celui d’un transhumanisme commercial antinature,
Fortune des uns pour l’esclavage des immatures ?

Comment en appeler à la responsabilité ?
Que la santé, la maladie, la comorbidité,
Sont le fruit de chacun dans son attitude
Et son quotidien à cultiver ses habitudes.

Fatalité, hasard ou virus ne sont responsables,
Car en toi est la source qui te rend capable,
De t’affranchir des marchands de la matrice,
De te libérer de leurs diaboliques caprices.

Méditons sur les bienfaits de cette crise,
Qui illustre l’infantilisme et ses méprises,
Qu’exploitent quelques vampires charlatans,
Que d’aucun nomme les sultans de satan.

Gratitude à tous et aux gardiens de l’humanité,
De nous guider sur la délicate voie de la sérénité,
Celle où la force intérieure est la seule autorité,
Garante d’autonomie, créativité, liberté, félicité.

Devenons matures, respectons la nature.

– Thierry Alingrin