Depuis leur découverte en 1990, les nanotechnologies sont désormais présentes dans plus de 2 000 produits alimentaires.
L’aliment industriel
Utilisées pour favoriser la blancheur du lait, des yaourts, du sucre, pour plus de brillance, de crémeux ou de fraicheur de l’aliment, ces nano-tech sont également utilisées sur l’emballage. Ce dernier peut alors changer d’apparence en fonction de la fraicheur du produit !
Représentant un milliardième de mètre, ces nanoparticules sont dérivées de l’argent, du cuivre, de l’or, de l’aluminium, du silicium, du carbone et d’autres métaux oxydés.
Ingérées avec l’aliment, des études montrent qu’elles circulent partout dans le corps via le sang, pénètrent la barrière hématoencéphalique, la barrière intestinale et la paroi des cellules.
Des médecins et chercheurs alertent sur le risque pour la santé, notamment inflammatoire. Risque constaté lors d’études faites sur les souris. Aucune étude n’étant faite chez les humains.
La FDA, l’organisme officiel d’autorisation de mise sur le marché américain, reconnait automatiquement comme sure (safe), sans aucune étude d’impact, toute nanoparticule dont l’élément de base est déjà autorisé. Ainsi la nanoparticule de dioxyde de titane est autorisée parce que le dioxyde de titane est déjà autorisé.
Pour ceux qui connaissent les disciplines ignorées de la médecine chimique – physique quantique, électromagnétisme, épigénétique, rôles de l’eau et de la lumière sur le fonctionnement d’un organisme vivant, les dysfonctionnements à moyen et long termes sont évidents.
Totum et interaction
Le Tout est supérieur à la somme des parties. Cette notion du Totum n’est pas prise en compte par les industriels de la santé et de l’alimentation.
Ainsi, raisonner uniquement sur les composants de base que sont les macronutriments – glucides, lipides, protéines – et les micronutriments – vitamines, oligoéléments, minéraux – est extrêmement réducteur. Les interactions entre ces différents éléments dans leur environnement naturel sont ignorées. Pourtant, ces nutriments ne sont vivants, assimilables et profitables à l’organisme que lorsqu’ils sont ingérés dans leur environnement naturel d’origine.
Vibrations, fréquences
Lorsque ces nanoparticules de métaux oxydés vont se retrouver dans le corps, quelle sera leur réaction lorsqu’elles seront excitées par des ondes électromagnétiques, multiples et variées d’un environnement très pollué ?
Leur fréquence va varier continuellement et rentrer en résonnance de façon délétère avec l’environnement immédiat, les cellules de l’organe contaminé par ces nanotechnologies alimentaires. La réaction inflammatoire sera une des premières réponses du corps. Et on criera à la maladie pour une réaction tout à fait légitime du corps qui se défend de l’agression non naturelle.
La transformation, précurseur ?
La transformation, dont la cuisson, le broyage et l’ultra-transformation des aliments, notamment l’ajout d’additifs, sont aujourd’hui reconnues comme précurseur de la maladie. De très nombreuses études ont prouvé que la nourriture transformée et hautement transformée était la cause des maladies dites de civilisation, en particulier cancers, maladies cardiovasculaires et neurodégénératives.
Les meilleures spécialistes en nutrition invitent donc à prendre en main sa santé en mangeant selon une règle des trois V, qui comporte une variante :
- V pour Vraie ( = nourriture non ultra-transformée) ou Vivante (= nourriture pas du tout transformée, notamment pas de cuisson supérieure à 42 degrés)
- V pour Végétale
- V pour Variée
Ayant testé les deux variantes sur de longues périodes, la seconde avec la partie Vivante est meilleure pour la santé. Elle est plus exigeante dans le cadre des relations sociales : le cru ne fait pas partie des habitudes d’une société où la tradition culinaire, de renommée internationale, est la cuisson.
La santé passe donc inévitablement par le fait d’être un minimum en cuisine et de faire ses courses en frais. Ce d’autant plus que la nourriture industrielle se densifie dans sa transformation, de plus en plus chimique et artificielle, donc carencée, pauvre en énergie de Vie et toujours plus riche en perturbateurs délétères.
Finalement, un retour aux sources, à la nature, à la vraie Vie.